A l’origine de l’agriculture, on retrouve les circuits courts et la proximité entre l’agriculteur et le consommateur.
Début des années 2000, les premiers groupes d’achat commun (GAC) et groupes d’achat solidaire de l’agriculture paysanne (GASAP) ont vu le jour en Wallonie et se sont répandus.
Le numérique est un facilitateur de l’essor des circuits courts puisqu’il offre des outils de mise en relation et de logistique. Il permet également, via l’intermédiaire de plateforme, d’élargir l’accès au marché et aux consommateurs internationaux.
Les circuits courts sont des opportunités pour la croissance à l’échelle d’un territoire, ils permettent de retrouver la vraie valeur du produit et d’y intégrer des critères de choix comme l’écologie mais surtout, ils « humanisent » l’achat alimentaire.
L’agriculteur peut valoriser son quotidien et la réalité de son métier (photos, présentation sur un site web ou les réseaux sociaux). Dans le rapport français sur le numérique et l’agriculture, on parle de dématérialisation de l’acte d’achat.
Au sein des circuits courts, il existe une diversité que ce soit au niveau des structures juridiques (ASBL, SA, coopératives, etc.), des modes opératoires (contact direct entre clients et producteurs, intermédiaires, etc.), des modèles économiques (bénévolat et/ou travailleurs rémunérés), ou des valeurs et objectifs.
Internet est le moyen de communication idéal pour répertorier les ventes en circuit court et mettre en relation les deux acteurs qui sont le consommateur et le producteur.
E&V Partners s’est spécialisée dans l’accompagnement de ce type de projet, et vous pouvez toujours nous contacter sans engagements.